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Interview d’Arnaud, développeur à Montréal depuis avril 2019.

Après avoir passé toute sa vie en région parisienne, Arnaud a décidé à 33 ans de changer de continent et de rejoindre la ville de Montréal en tant que développeur .NET.

En dehors d’une « simple » envie de changement qui peut d’ailleurs coïncider dans une certaine mesure avec l’arrivée de la trentaine, Arnaud a eu l’envie de tout quitter pour partir dans un pays plus anglo-saxon.

Pour lui, la proximité avec les grands espaces et la nature qu’on peut trouver à moins d’une heure de voiture de Montréal fut le critère de choix pour sa ville d’adoption. En effet, la fameuse qualité de vie incomparable du Canada est évidemment LE point le plus important pour lui.

On en a profité pour lui poser quelques questions afin d’en savoir plus sur son expérience d’expatriation.

Comment s’est déroulé ton expatriation en tant que développeur à Montréal ?

J’ai été redirigé vers Maplr par un recruteur qui m’avait contacté sur Linkedin et à qui j’avais confié mon désir de partir au Canada. Après un premier entretien avec eux qui a permis de parler de mon projet et de juger de ma motivation, j’ai été contacté par la première société à laquelle Maplr avait partagé mon CV.

Ensuite, les choses sont allées très vite : J’ai passé 3 entretiens en 10 jours et la société m’a fait une offre que j’ai accepté le jour même. Je pense qu’il ne s’était écoulé que 3 ou 4 semaines entre le moment ou j’ai été contacté par Maplr et le jour ou j’ai reçu une offre d’emploi concrète.

La suite est basée sur la préparation de mon dossier d’immigration et l’attente de l’accord définitif du service d’immigration canadien. Dans mon cas, cela a pris un peu plus de 6 semaines. Dès réception de tous les documents, je suis parti 3 semaines plus tard.

J’ai été accueilli au Canada par Olivier, un autre développeur de la communauté Maplr qui a eu la gentillesse de m’héberger le temps que je trouve un logement correspondant à mes attentes. J’ai passé 2 semaines sur place avant de commencer à travailler. Ces deux semaines étaient d’ailleurs très utiles pour s’occuper de toutes les choses importantes à faire après son arrivée.

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Quelles difficultés as-tu rencontré lors de ton expatriation à Montréal ?

J’ai eu la chance de ne pas rencontrer de problèmes majeurs suite à mon arrivée. Le processus d’immigration canadien est globalement bien rôdé et toutes les procédures administratives importantes ont été faites en moins de 2 semaines.

J’ai également eu la chance de pouvoir être conseillé par ceux qui sont arrivés avant moi (les personnes de la communauté Maplr) que j’ai rencontré peu de temps après mon arrivée.

J’ai aussi été suivi par Maplr qui accompagne vraiment les gens ! C’est un point non négligeable et qui peut être vraiment rassurant. J’ai toujours été assez débrouillard dans ma vie mais dans le cas d’une expatriation impliquant de si grands changements, cette assistance a vraiment été appréciable.

Activité pêche dans les Laurentides

 

Que penses-tu de l’accompagnement offert par Maplr ?

L’accompagnement de Maplr a vraiment été parfait. Je n’ai pas le moindre reproche à leur faire. J’estime vraiment que je n’aurais pas pu trouver mieux et je m’en féliciterai probablement toute ma vie.

L’accompagnement de Maplr a vraiment été parfait. Je n’ai pas le moindre reproche à leur faire. J’estime vraiment que je n’aurais pas pu trouver mieux et je m’en féliciterai probablement toute ma vie.

Arnaud

Développeur à Montréal

Que penses-tu du coût de la vie en tant qu’expatrié développeur à Montréal ?

Le coût de la vie à Montréal est très correct ! Surtout si on le compare à d’autres villes canadiennes comme Toronto ou Vancouver. Je pense qu’on peut dans une certaine mesure le comparer au coût de la vie dans certaines provinces françaises. Certaines choses coûtent plus cher qu’en France (téléphonie, internet, certains aliments importés…), d’autres moins, donc ça s’équilibre assez bien. Tout dépend aussi du niveau de vie auquel la personne est habituée.

Quel accueil vous on fait les canadiens ?

N’étant présent que depuis 1 mois et demi, je n’ai pas encore assez de recul pour juger plus en détails de l’état d’esprit des canadiens, mais tous ceux que j’ai rencontré lors de mes démarches administratives ou sur mon lieu de travail ont été très accueillants. Il y a toujours une bonne humeur générale très appréciable que je ressens tous les jours dès que je sors de chez moi.

Apéro Maplr

Qu’est-ce que tu aimes le plus à Montréal ?

Ce n’est pas spécifique à Montréal mais j’aime la discipline des gens dans la vie quotidienne. Cela rend la vie en société bien plus agréable quand on est dans une grande ville et cela améliore les rapports que les gens ont entre eux. On voit vraiment la différence entre un pays latin comme la France et l’état d’esprit canadien qui est évidemment complètement anglo-saxon.

De manière plus spécifique à Montréal, j’aime la proximité avec les USA ainsi que les grands espaces et les parcs nationaux qui sont présents un peu partout au Québec. Le bilinguisme de la ville est quelque chose que j’apprécie également beaucoup et j’aime passer d’une langue à l’autre plusieurs fois par jour.

Côté pro, est ce qu’il y a des différences avec la France ?

Cela peut je pense varier énormément en fonction des expériences passées en France et de la « qualité » du poste occupé ici. Dans mon cas, j’ai gagné un peu à tous les niveaux : projets à forte valeur ajoutée, méthodologie agile très respectée, salaire, horaires de travail.

Je pense que les rapports entre collègues peuvent être légèrement différents de ceux construits en France mais cela fait parti des différences culturelles et on s’y habitue rapidement finalement.

Un dernier conseil pour les futurs expatriés à Montréal ?

Je recommanderais d’essayer d’anticiper un maximum les démarches à réaliser au Canada depuis la France quelques semaines avant son arrivée. Il y a des choses qu’on ne peut faire que sur place mais si on peut réduire le nombre de « surprises » sur place c’est toujours positif. De plus, l’anticipation permet de se focaliser sur les premières semaines de travail qui seront déjà une source de pression considérable (variable en fonction du poste occupé et de la nature de la personne bien sûr).

 

Je recommanderai également de prévoir au moins 2 bonnes semaines sur place avant de commencer à travailler et d’avoir un peu d’argent de côté. En effet, l’argent a tendance à partir assez vite au début, en particulier pour les gens emménageant dans un appartement non meublé et/ou ceux qui ont une famille et éventuellement des enfants.

 

Pour finir, ne pas se laisser démoraliser ou effrayer par la quantité de choses à faire sur place et tous les obstacles à franchir les premières semaines. La communauté Maplr dont je fais parti est prête à aider/conseiller ceux qui ont des craintes ou des questions à leur arrivée…

Si vous avez un travail à votre arrivée, c’est déjà un énorme point qui permettra de relâcher une certaine pression financière. Peu de gens ont la chance d’en avoir un avant même d’avoir posé le pied ici…

Envie de tenter l’aventure en tant que développeur à Montréal ?

Si toi aussi tu as envie d’avoir une meilleure qualité de vie ? Alors rejoins la famille Maplr. On t’acompagnera avant, pendant et aprés ton expatriation.

Chez Maplr, nous t’accompagnons gratuitement pour trouver ton emploi en TI à Montréal et sur toutes les phases de ta relocalisation. Notre équipe franco-canadienne est là pour te guider et te donner toutes les informations nécessaires pour démarrer sereinement ta nouvelle vie à Montréal !

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